L’immobilier à Pierrefitte-sur-Seine

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L’immobilier à Pierrefitte-sur-Seine

L’immobilier à Pierrefitte-sur-Seine : une valeur refuge pour les 25-65 ans !


Le contexte est sombre - Covid-19, confinement(s), dégradation de la situation économique, hausse du chômage, etc. - et le moral des Français s’en ressent quelque peu, celui des 25-65 ans notamment : 72% des personnes sondées dans le cadre de la dernière enquête IFOP estiment être « en pleine crise économique », contre 65% un an plus tôt.

Pour autant, la 8e édition de l’enquête IFOP sur le thème des Français et l’accession à la propriété, commandée par CAFPI et réalisée peu avant le troisième confinement, fait état de l’envie toujours forte chez les 25-65 ans d’acquérir un bien immobilier d’ici cinq ans, en dépit d’obstacles conjoncturels.

Elle révèle notamment que 67% des 25-34 ans veulent devenir propriétaire dans les cinq ans à venir ! Vous souhaitez vendre un bien immobilier à Pierrefitte-sur-Seine ? Profitez-en !

 

 Seuls 35% des 25-65 ans estiment qu’il est plus aisé d’accéder à la propriété


La pierre reste une valeur refuge… L’embellie observée en 2020 quant à la facilité perçue à devenir propriétaire s’est nettement estompée, selon le sondage IFOP réalisé auprès de 1 503 Français. Seuls 35% des 25-65 ans pensent qu’il est plus aisé d’accéder à la propriété, contre 42% l’an dernier.

Il faut y voir les effets de la crise sanitaire, de la stabilisation des taux d’emprunt et surtout du durcissement des conditions d’obtention d’un prêt immobilier, même si le Haut conseil de stabilité financière (HCSF) les a assouplies.

Ainsi, 58% des sondés estiment que ces critères d’octroi d’un crédit sont aujourd’hui plus difficiles qu’en mars 2020 (+ 13 points). Et pourtant…

« En dépit de ce climat anxiogène et de ces obstacles conjoncturels, 44% des 25-65 ans envisagent toujours de devenir propriétaire dans les cinq prochaines années. Ce chiffre atteint 67% chez les 25-34 ans, 61% chez les cadres, 59% chez les familles de trois enfants (ou plus) et 57% chez les personnes qui ont un revenu net mensuel supérieur à 4 000 € », observe Philippe Taboret, Directeur général adjoint de Cafpi.

O.D. / MySweetProd © Adobe Stock